03 novembro 2006

Haréns de felicidades, mon amour!

Une manie de vieux garçon
Moi j'ai pris l'habitude
D'agrémenter ma sollitude
Aux accents de cette chanson


{Refrain:}
Quand je pense à Fernande
Je bande, je bande
Quand j' pense à Felicie
Je bande aussi
quand j' pense à Léonor
Mon dieu je bande encore
Mais quand j' pense à Lulu
Là je ne bande plus
La bandaison papa
Ça n' se commande pas.


C'est cette mâle ritournelle
Cette antienne virile
Qui retentit dans la guérite
De la vaillante sentinelle.


{Refrain:}
Quand je pense à Fernande
Je bande, je bande
Quand j' pense à Felicie
Je bande aussi
quand j' pense à Léonor
Mon dieu je bande encore
Mais quand j' pense à Lulu
Là je ne bande plus
La bandaison papa
Ça n' se commande pas.

Afin de tromper son cafard
De voir la vie moins terne
Tout en veillant sur sa lanterne
Chante ainsi le gardien de phare


{Refrain:}
Quand je pense à Fernande
Je bande, je bande
Quand j' pense à Felicie
Je bande aussi
quand j' pense à Léonor
Mon dieu je bande encore
Mais quand j' pense à Lulu
Là je ne bande plus
La bandaison papa
Ça n' se commande pas.


Après la prière du soir
Comme il est un peu triste
Chante ainsi le séminariste
A genoux sur son reposoire.


{Refrain:}
Quand je pense à Fernande
Je bande, je bande
Quand j' pense à Felicie
Je bande aussi
quand j' pense à Léonor
Mon dieu je bande encore
Mais quand j' pense à Lulu
Là je ne bande plus
La bandaison papa
Ça n' se commande pas.


A l'Etoile où j'était venu
Pour ranimer la flamme
J'entendis émus jusqu'au larmes
La voix du soldat inconnu.


{Refrain:}
Quand je pense à Fernande
Je bande, je bande
Quand j' pense à Felicie
Je bande aussi
quand j' pense à Léonor
Mon dieu je bande encore
Mais quand j' pense à Lulu
Là je ne bande plus
La bandaison papa
Ça n' se commande pas.


Et je vais mettre un point final
A ce chant salutaire
En suggérant au solitaire
D'en faire un hymme national.

Georges Brassens, "Fernande"

4 comentários:

Anónimo disse...

Eh, les iconoclastes se reveillent. Dis moi, est-ce-que, ivre, je me fais comprendre? Je vous aime, madame...
Je vous aime à crever!
Antoinymous

Anónimo disse...

Não há duas sem três:
.
.
.
.
.
.
.
O amor é lindoooooooooooo!



um beijo da Maria



bom fim-de-semana

Uxka disse...

Idem, Maria, e imagino que o teu vai ser... mãededeus!
Jinho

Uxka disse...

Crève pas, mon home, nous sommes partout.
Lambeijo